Me contacter par Mél	Yemen du sud - Wadi Hadramaout Seyun, Tarim, Shibam
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	Seyoun (Seyun), "la ville au million de palmiers" Arrivés tôt le matin à l'aéroport, nous filons directement visiter le l'ancien palais du dernier sultan karthiride, transformé en musée archéologique et ethnographique. Le guide s'est bien débrouillé, nous sommes les premiers sur le site.		Une section d'archéologie, des photos des années 30 à 38 sur les caravaniers traversant le Quart vide Et de superbes vues sur la ville
	Tous au bar ! Afin de se remettre de nos efforts (bon, oui, juste 2 étages à grimper …), on se pose sur une terrasse		De grandes tables métalliques, les touristes se mélangent aux yéménites en sirotant un thé. A proximité, le souk où l'on trouve de sublimes loukoums, les meilleurs que nous ayons jamais gouté au cours de nos voyages.
	Direction Tarim, à 35 kms de Seyoun, par une très bonne route à chaussées séparées Mausolée d'Ahmad Ibn Isa, descendant du Prophète, qui introduisit dans la région la doctrine sunnite shaféite, actuellement suivie par les yéménites du Hadramaout,		Tarim, à 35 kms au nord est de Seyoun, une des villes les plus religieuses du Yémen (considérée comme ville sainte) Ses maisons d'inspiration indonésienne
	Palais de Sayyed Omar ben cheikh Al Kaff		Intérieurs sans intérêt
	Mais belles vues sur Tarim		Le plus haut minaret de l’Arabie du Sud (56 m, de forme carrée), celui de la récente mosquée Al Mihdhar (XIXe s.)
	Vente de poisson séché en morceaux. Sur le stand d'à côté, un marchand découpe un requin. C'est une catastrophe, ils sont pêchés ici en grand nombre pour le commerce débile des ailerons. Dans l'extinction des espèces, le Yémen contribue aussi très fortement à la disparition des rhinocéros (utilisation de la corne pour les djambias, poignard à lame recourbé porté fièrement à la ceinture)		Début d'après midi,une petite route sécarte de l'axe de la valllée pour aboutir au Al Hawta Palace, très bel hôtel réalisé dans un ancien palais hadrami., restauré et agrandi. Jardin sous les palmiers et piscine complètent le charme de ce havre de pets.
	Fin d'après midi, le moment pour aller visiter la ville de Shibam en attendant de la découvrir du haut de la falaise au soleil couchant		La ville est inscrite au patrimoine mondial de l'humanité à l'UNESCO et bénéficie d'un effort de sauvegarde des immeubles
	Immeuble fraichement restauré (la façade, au moins)		Facades des immeubles de Shibam, se différenciant par leurs fenêtres, dans l'entrelat des cables électriques
	Facades des immeubles de Shibam, se différenciant par leurs fenêtres, dans l'entrelat des cables électriques		Un groupe attend sagement le bus
	Climatiseurs en façades chevreaux à la tétée		Façades aux fenêtres si diffréntes, brocante au rez de chaussée et femme voilée en noire
	Dans les rues de Shibam, les chèvres et moutons dorment devant la porte en attendant de rentrer à la maison dont le rez de chaussée constitue l'écurie.		Même les chèvres font de la moto. Tout est bon à manger
	Une place de Shibam		Lorsque tout le monde est à la porte et que personne ne répond …
	Des ouvertures différentes à chaque étage Une femme qui observe par sa fenêtre		Tout est vendu aux touristes, un patrimoine qui s'éparpille, disparaît : portes, serrures, coffres, bijoux etc….
	Une serrure de porte en bois		Un artisan dans les rues de Shibam tisse un châle au fond d'un capharnaüm.
	Il a fait le pèlerinage		Les célèbres vues du Shibam sont prises au soleil couchant à mi hauteur des pentes de la falaise qui surplombe la ville. Usuellement, le parcours s'arrête sur un replat au dessus des dernières maisons. On peut pousuivre l'ascension pour atteindre la mi-hauteur, en entrant dans un système de fissures dans la paroi et en ramonant assez facilement dans une cheminée. Votre guide vous aidera à trouver la bonne voie ....La descente pourra être un peu plus périlleuse ...
	Vue sur le wadi Hadramaout, au début de l'ascension		Premier panorama à partir du point de vue conventionnel situé au dessus des dernières habitations A grandir et faire défiler ….
	L'immeuble écroulé suite à une fuite d'eau		Le ramonage valait bien l'effort pour jouir d'une vue aérienne au soleil couchant sur Shibam
	Nous sommes une dizaine seulement, dans le silence et la lumière dorée à profiter d'un spectable exceptionnel. A grandir et faire défiler ….		Sept étages de pisé, précurseurs avant-gardistes des grandes cités … Les toits s'ornent de paraboles, l'ascenceur est toujours absent
	Il faut bien songer à redescendre, il n'est pas conseillé d'attendre trop la pénombre pour dés escalader la paroi.		Retour à l'hôtel Al Hawta, probablement le meilleur du Yémen. Nous regrettons de n'y passer qu'une nuit. Si la vallée de l'Hadramaout se visite facilement, il est très agréable d'y laisser passer le temps, s'ouvrir à la contemplation, flâner sous toutes les lumières du jour.